Anticiper le mal de transport : comment s’y prendre pour la voiture ?
La fête de noël est également une occasion pour prendre un petit break en famille. Qui dit break peut vouloir dire séjour, voyage… Et donc prendre un moyen de transport que ce soit la voiture, le bateau ou encore l'avion.
Malheureusement, pour ceux qui souffrent du mal de transport, voyager est un vrai calvaire ; sans doute bénin, mais il est vraiment désagréable. Osons le dire, difficile d'imaginer qu'il est possible de faire un long trajet quand on a l'organisme déboussolé.
Et si on peut l'éviter ? Nous vous proposons quelques traitements possibles pour vous aider à lutter contre ce malaise en voiture.
Tout le monde peut être concerné par le mal de transport, mais les plus touchés sont les enfants âgés entre 3 à 12 ans. Mais d'où vient ce désagrément ? En effet, tout est question d'équilibre. Quand on roule, notre organisme dispose et perçoit plusieurs sources d'informations comme :
La perception visuelle : elle désigne toutes les informations spatio-temporelles analysées par notre sens de la vue. Cette perception visuelle situe notre corps par rapport à l'horizon.
La perception du corps dans l'espace : cette 2ème perception est appelée sensibilité « proprioceptive ». Nos récepteurs dans les muscles l'apportent.
La perception du déplacement de l'organisme : c'est l'oreille interne se trouvant dans la boîte crânienne qui s'en charge. Quand on roule, les cellules ciliées suivent également les déplacements de la tête.
Le cerveau analyse, compare, évalue et répertorie toutes ces informations afin de donner la position exacte du corps par rapport à l'espace.
Cependant, quand ces données sont contradictoires, l'organisme commence à se déboussoler. Viennent alors le vertige et les nausées !
Voici quelques astuces que vous pourriez mettre en pratique avant et pendant le voyage pour lutter contre le mal de transport :
Du repos avant de partir : vous allez voyager le lendemain ? Même si vous êtes excité à l'idée de préparer votre séjour, nul besoin de veiller trop tard. Sachez que le manque de sommeil ne fera qu'accentuer les phénomènes de nausées. Vous avez donc intérêt à compléter vos heures de sommeil.
Un bon petit repas avant de partir : contrairement à des idées reçues, un estomac vide rendra les vomissements plus douloureux. La solution ? Prenez le temps de manger un vrai repas avant de partir, mais n'abusez pas trop au risque de subir une indigestion !
De l'antihistaminique : ces médicaments sont en vente libre dans les pharmacies, prenez en un une heure avant de rouler ou avant de débarquer. Les plus connus sont Scopoderm, Aphilan, et Mercalm.
La bonne position en voiture : si vous faites partie de ceux qui souffrent du mal de transport, la place que vous devez prendre est au milieu pour éviter de sentir au maximum le mouvement de la voiture.
Fermez les yeux et mettez-vous en position semi-couchée. Evitez de mettre le chauffage trop fort et laissez vos fenêtres entrouvertes.
Rester optimiste : ne vous concentrez pas sur ce trouble. Prenez plaisir au voyage en sillonnant les beaux paysages ou en prenant de belles photos.
Malheureusement, pour ceux qui souffrent du mal de transport, voyager est un vrai calvaire ; sans doute bénin, mais il est vraiment désagréable. Osons le dire, difficile d'imaginer qu'il est possible de faire un long trajet quand on a l'organisme déboussolé.
Et si on peut l'éviter ? Nous vous proposons quelques traitements possibles pour vous aider à lutter contre ce malaise en voiture.
D'où vient le mal de transport ?
Tout le monde peut être concerné par le mal de transport, mais les plus touchés sont les enfants âgés entre 3 à 12 ans. Mais d'où vient ce désagrément ? En effet, tout est question d'équilibre. Quand on roule, notre organisme dispose et perçoit plusieurs sources d'informations comme :
La perception visuelle : elle désigne toutes les informations spatio-temporelles analysées par notre sens de la vue. Cette perception visuelle situe notre corps par rapport à l'horizon.
La perception du corps dans l'espace : cette 2ème perception est appelée sensibilité « proprioceptive ». Nos récepteurs dans les muscles l'apportent.
La perception du déplacement de l'organisme : c'est l'oreille interne se trouvant dans la boîte crânienne qui s'en charge. Quand on roule, les cellules ciliées suivent également les déplacements de la tête.
Le cerveau analyse, compare, évalue et répertorie toutes ces informations afin de donner la position exacte du corps par rapport à l'espace.
Cependant, quand ces données sont contradictoires, l'organisme commence à se déboussoler. Viennent alors le vertige et les nausées !
Comment lutter contre le mal de transport ?
Voici quelques astuces que vous pourriez mettre en pratique avant et pendant le voyage pour lutter contre le mal de transport :
Du repos avant de partir : vous allez voyager le lendemain ? Même si vous êtes excité à l'idée de préparer votre séjour, nul besoin de veiller trop tard. Sachez que le manque de sommeil ne fera qu'accentuer les phénomènes de nausées. Vous avez donc intérêt à compléter vos heures de sommeil.
Un bon petit repas avant de partir : contrairement à des idées reçues, un estomac vide rendra les vomissements plus douloureux. La solution ? Prenez le temps de manger un vrai repas avant de partir, mais n'abusez pas trop au risque de subir une indigestion !
De l'antihistaminique : ces médicaments sont en vente libre dans les pharmacies, prenez en un une heure avant de rouler ou avant de débarquer. Les plus connus sont Scopoderm, Aphilan, et Mercalm.
La bonne position en voiture : si vous faites partie de ceux qui souffrent du mal de transport, la place que vous devez prendre est au milieu pour éviter de sentir au maximum le mouvement de la voiture.
Fermez les yeux et mettez-vous en position semi-couchée. Evitez de mettre le chauffage trop fort et laissez vos fenêtres entrouvertes.
Rester optimiste : ne vous concentrez pas sur ce trouble. Prenez plaisir au voyage en sillonnant les beaux paysages ou en prenant de belles photos.